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Le vieux lavoir vu du
chemin des anciennes tuileries. |
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Le lavoir vu de la
route de Vins.
On distingue nettement sa position en contrebas
du niveau de la chaussée: il fallait que l'eau s'écoule naturellement. |
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Il faut descendre
quelques marches pour accéder au niveau de l'eau. Des pierres à charrettes
protégeaient les lavandières d'une éventuelle chute. |
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Deux séries de
colonnes "style François premier" soutiennent le toit et donnent
un cachet caractéristique à l'édifice.
De petites fontaines décorées de motifs
empruntés à une mythologie maritime décore le lieu. |
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Si en été le lieu
pouvait être agréable, les courants d'air de l'hiver devaient favoriser
des lavages rapides; d'autant plus que cela devait se faire à genoux. |
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Une des fontaines d'agrément. |
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la sortie du lavoir,
maintenant colonisée par des lentilles d'eau. L'eau rejoint ensuite la
Ribeirotte au niveau des anciennes tuileries. |
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On distingue au fond
l'arrivée de l'eau pratiquement au niveau de la surface.
Le niveau d'eau devait être relativement faible,
la profondeur étant compensée par un débit assez fort.
On distingue sur le mur de gauche les deux
fontaines décoratives. |
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Sur cette fontaine
c'est un poisson qui dégorge l'eau. |
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A la sortie du lavoir,
on a vue sur le derrière du théâtre de verdure construit dans le parc
d'un ancien notable de Le Val (dont la descendance est d'ailleurs une
famille industrielle puissante de la région). |