(166) Wikipedia : Le terme de Beat Generation fut employé pour la première fois en 1948 par Jack Kerouac pour décrire son cercle d'amis au romancier John Clellon Holmes (qui publiera plus tard le premier roman sur la Beat generation, intitulé Go, en 1952, en même temps qu'un manifeste dans le New York Times : « This is the Beat generation »). L'adjectif Beat (proposé par Herbert Huncke) avait initialement le sens de « fatigué », « cassé », mais Kerouac y ajouta la connotation paradoxale de upbeat et beatific ; il se moquera souvent de l'appellation donnée au mouvement (cfr. I'm a catholic, not a beatnik). Qualifier ce petit cercle d'aspirants
écrivains, artistes, arnaqueurs et toxicomanes en tous genres de « Génération »
fut une façon de revendiquer leur importance, leur représentativité, et
surtout le début d'un nouveau mouvement (sur les traces de la Génération perdue). C'était le genre de
bravade qui aurait pu n’être qu'illusions de grandeur, mais l'histoire montre
que Les membres de Les membres « canoniques »
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