(141) L’onomatopée Gari-gari utilisée dans ce haïku , évoque le bruit produit par la carapace d’un insecte, assimilant le char de guerre à un monstrueux scarabée dont la place n’est plus dans les saisons humaines. Le bruit du char pareil à une carapace, la fleur rouge que fait éclore la mitraillette (voir le haïku suivant de Saitô Sanki ), en renvoyant indirectement à des saisons, disent toute l’inhumanité de la guerre. |
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