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La profondeur peur atteindre une dizaine de mètres; une
corde est parfois nécessaire pour y descendre.
Ces failles sont parfois utilisées comme des dépotoirs; au fond de
celle-ci des restes de bâtons de dynamite (exercice militaire?) côtoyaient
quelques détritus plus standards.
Cette photographie a été prise à l'endroit où deux failles
perpendiculaires se rejoignent.
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Le fond des failles est constitué de blocs de pierres qui
ont progressivement colmaté une partie de la faille; il ne faut pas se
fier à la profondeur apparente, d'autant plus qu'un matelas de feuilles
mortes a constitué un tapis. |
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La végétation se déploie jusqu'à la proximité
immédiate des failles, les cachant le plus souvent à la vue des
promeneurs; Nicolas et Marie-Cécile sur la photographie sont au bord de la
faille. |
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Les failles sont étroites, le soleil n'y pénètre que
très peu.
Il est possible de parcourir les failles sur plusieurs centaines de
mètres, sous réserve d'être prudent.
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Par rapport à la végétation ambiante, les failles sont
très étroites et ne se découvrent que quand on arrive à proximité
immédiate.
Il semble néanmoins que la sauvagine ait réussi à se faire à leur
présence, si on trouve parfois les restes de quelques animaux domestiques
au fond, il n'y a pas trace de cadavres d'animaux sauvages.
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L'entrée d'une faille est parfois sans commune mesure avec
sa profondeur ou son étendue. Un simple orifice peut conduire à des
dizaines de mètres de conduits. |
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Cette photographie montre le réseau étroit que
constituent les failles; on y distingue plusieurs failles
perpendiculaires se rencontrant.
Marie-Cécile, ici pour donner l'échelle, ne semble pas effrayée
outre mesure.
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Il n'y certainement pas de danger pour ce lézard, surpris
ici lors d'une sieste méritée en plein soleil.
Il est vrai que la région immédiate de ces lapiès est calme.
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